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Jean-Frédéric Bogner

 

1789 erscheint Jung-Stillings „Häusliches Leben“ (LG Benrath S. 310). In diesem Buch liest man:

„Zu dem allen kam noch ein Umstand, Stilling hatte die Ausziehung des grauen Stars bei Lobstein zu Straßburg vorzüglich gelernt, sich auch bei Bogner die Instrumente machen lassen, denn damals war er willens, diese vortreffliche und wohltätige Heilung noch mit seinen übrigen Augenkuren zu verbinden; als er aber selbst praktischer Arzt wurde und all das Elend einsehen lernte, welches auf mißlungene Krankenbedienung folgte, so wurde er äußerst zaghaft […]“.

Wer war nun dieser Instrumentenmacher Bogner?

 

Bogner und seine Familie lebten von etwa vom Jahr 1700 bis zum Jahr 1832 in dem Haus, das Heute als „1, Place Kleber“ bezeichnet wird. Sehr viele Männer übten den Beruf des Messerschmieds, des couteliers, aus. Trug der Vater denselben Namen wie sein Sohn, so war es nicht ungewöhnlich dass dieser auch den gleichen Beruf hatte. Nicht leicht, den Überblick zu behalten !

Den wohl ersten lobenden Hinweis auf die Qualität der Messer findet man aus dem Jahr 1782 stammend.

Der spätere Generalarzt der Armee und Chefchirurg Napoleon Bonapartes, Pierre-François Percy (geb. Montagney/Franche-Comté 28.10.1754, gest. Paris 18.02.1825) kam im Juli 1782 als Chirurg zum Regiment de Berry, das vor Straßburg lag. Percy benötigte neue Instrumente, und

Er war 1782-07 als Chirurg im Regiment de Beri [recte: de Berry] in Straßburg, wo er sich neue Instrumente, die er benötigte, anfertigen ließ. Der Kolmmandant kannte « M. Birr, négociant sous les grandes arcades à Strasbourg. [ :::] il est honnête homme et serviable » So bediente Bogner den Chirurgen zu dessen Zufriedenheit.

In den « Séances publiques de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Besançon. Séance du 28 Janvier 1826 [unter Leitung von Michel Pierre Dorothée Clerc (geb. Abbenans (Doubs) 1.09.1762, gest. Besançon (Doubs) 3.03.1848.], Besançon: V. Daclin 1826, referiert Jean-François Thomassin (geb. Rochefort-sur-Nenon 1.09.1750, Ruhestand 22.06.1816 ; Dr. med. et chirurg.) S. 40-54 über Pierre-François Percy, darin heißt es S.44:

« Bogner, le plus fameux coutelier de France d’alors, pour les instrumens de chirurgie, lui fit tous les essais qu'il désira, et lui aida des idées qu'une longue pratique lui avait suggérées. Ils fabriquèrent ensemble divers tranchans, varièrent et changèrent les formes; ils arrivèrent enfin à rendre la coupe des ciseaux plus nette et moins mâchée, en rendant les lames plus minces et repassées à la manière des lames de canif, et en rapprochant leurs branches, qui devinrent parallèles, les anneaux placés tout à fait en dehors. Ce mémoire lui coûta infiniment de peine pour sa rédaction; il désirait beaucoup d'obtenir le prix, et il l'obtint Il voulait en faire hommage à son père; mais sa joie fut de courte durée et suivie de larmes bien amères; ce père mourut la veille du triomphe de son fils. »

Siehe jetzt :Calum Johnson (Hrsg.): A surgeon in Napoleon's Grande Armée. The campaign journal of Baron Percy. Barnsley: Pen & Sword Military 2024; ISBN: 978-1-399-04429-5; 978-1-399-04427-1; 978-1-399-04425-7

Jean-Frédéric Hermann (geb. Barr (Bas-Rhin) 3.07.1743, gest. Straßburg 20.02.1820) machte in seinem Werk

Jean-Fréd[éric]. Hermann: Notices historiques, statistiques et littéraires sur la ville de Strasbourg, Bd. 2, Strasbourg: F. G. Levrault 1819,

auf Seite 360 dies ganz deutlich :

„Presque tous les instrumens de chirurgie pour les armées, pendant les dernières guerres, ont été fait par feu Bogner, et par le S.r Lichtenberger, qui jouit à cet égard d’une grande et juste célébrité.“

Johann Friedrich/Jean-Fréderic Lichtenberger (geb. 3.12.1743, gest. 7.11.1831).

 

Fünf Jahre nach Pierre-François Percy und zwei Jahre nach Jung-Stillings Bemerkung, im Jahr 1787, erschien eine Arbeit, die Bogners anderes Interessensgebiet zeigte: Bogner, war auch Mineralienhändler.

« ESSAI D’UN ART DE FUSION A L’AIDE DE L'AIR DU FEU, OU AIR VITAL par Mr. EHRMANN, Licencié en Droit, Démonstrateur de Physique expérimentale à Strasbourg; Membre de l’Académie Royale des Sciences & belles Lettres de Gothenbourg; & de la Société des Curieux de la Nature à Berlin. Avec une planche gravée en taille-douce. Traduit de l’allemand par M. DE FONTALLARD & revu par l’AUTEUR. SUIVI DES MÉMOIRES de Mr. LAVOISIER, de l’Académie Royale des Sciences, sur le même Sujet. = A STRASBOURG, 1787. chez JEAN GEORGE TREUTTEL, Libraire. & à PARIS, chez CUCHET, rue & hôtel Serpente. - Avec Approbation & Privilege du Roi. »^

Die Anmerkung auf Seite 107 zu § 110, lautet:

« Pendant la fusion on voit une flamme violette dans le creuset, & il s’éleve une vapeur qui sent le safran. Le charbon est jaunâtre. Voilà les phénomenes que présenta l’argent corné gris blanchâtre & cristallisé en petits cubes de Johann-Georgenstadt en Saxe †).

 †) M. BOGNER, habile minéralogiste de Strasbourg, a eu la complaisance de me fournir cette mine rare & encore plusieurs autres mines & pierres. »

 

Jean-Philippe Graffenauer gibt 1806 ebenfalls einen kleinen Hinweis auf den Mineralienhändler Bogner. In seinem

« [Vorsatztitel :] MINÉRALOGIE ALSACIENNE ÉCONOMICO–TECHNIQUE […Titel:] ESSAI MINÉRALOGIE ALSACIENNE ÉCONOMICO-TECHNIQUE. D'UNE MINERALOGIE ÉCONOMICO-TECHNIQUE DES DÉPARTEMENS DU HAUT- ET BAS-RHIN FORMANT LA CI-DEVANT ALSACE ou Distribution méthodique de toutes les substances minérales et fossiles qui se trouvent dans ce pays; avec indication de leurs principaux caractères, de leurs gissemens et localités, des tra vaux des mines et du produit de leur exploitation, des ateliers, manufactures et fabriques y relatives, ainsi que des applications et des usages de ces mêmes substances dans les arts, l'agriculture, l'économie domestique, la médecine, l'art vétérinaire etc. etc. PAR JEAN-PHILIPPE GRAFFENAUER, Docteur en médecine, membre associé national de la Société de médecine de Paris, correspondant de la Société galvanique et de celle de médecine clinique de la même ville; membre résidant de la Société d'agriculture, sciences et arts du dépar- tement du Bas-Rhin, séant à Strasbourg. AVEC UNE CARTE MINERALOGIQUE DE L'ALSACE. STRASBOURG, Chez Louis Eck, Imprimeur - Libraire. 1806.“

In der « LIST E de MM. les Abonnès, par ordre alphabétique. » fndet sich die Angabe :

« Bogner, Coutelier, Marchand de minéraux, à Strasbourg. »

Unter den weiteren Subskribenten finden sich die Namen, die aus dem Umfeld Jung-Stilling bekannt sind; u. a.: Ehrman, der Senator Grégoire, Herrenschneider, Pfarrer Lauth, J. Fred. Lobstein, Nestler père, Professor an der Pharmazieschule, Professor Oberlin, Oberlin in Waldersbach , Jéremie Oberlin, Pasquay, Propriétaire, à l’île de Jars prè de Strasbourg, Pfähler, Dr. med Risler in Mülhouse, Reisseisen, Risler, Buchhandlung Risler & Co ebd.,, Schwäughäuser [sic] homme des lettres, Silbermann; , Stöber, Payeur général und, Sohn Notar Stöber, Dr. med. Sultzer in Barr, Treuttel & Würtz, Rat Weckherlin in Stuttgart

 

In den Akten der Straßburger Archive lassen sich weitere Daten gewinnen. So findet man zum Beispiel

 

für das Jahr 1761

„Fr. Catharina Dorothea Bognerin geb. Kriegin Weyl. Hn Christoph Bogner geweßten Kurtz messerschmidts Wittib mit assistentz H. Johann Jacob Metzger des Paßmentirers so dann H. Johann Friedrich Bogner auch Kurtz messerschmidts dero Sohn beyständlich H Tobias Ludwig Krugen Silberarbeiter“

 

für das Jahr 1763

« Jean Frédéric Bogner épouse en 1763 Anne Catherine Jund, fille de l’aubergiste à la tribu des Gourmets Isaac Jund : contrat de mariage, célébration 1763 » […]

« Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à la mère du marié. Ceux du mari s’élèvent à 1605 livres, ceux de la femme à 1 025 livres. »

 

für das Jahr 1771

„2° Herrn Johann Friedrich Bogner, den Kurtzmeßerschmidt und burgern dah“ier, so dieser inventur Persönlichen beÿwohnete,

 

für das Jahr 1801

„Inventarium über der weÿl. bürgerin Anna Catharina geb. Jund des bürgers Johann Friedrich Bogner Kurz: Messerschmitts Ehegattin Vermögens Nachlaßenschafft – nach ihrem den 13. frimaire IX erfolgten Absterben, auf ansuchen des Wittwers wie auch des bürgers Johann Friedrich Bogner, ledigen handelsmanns, so 24 Jahr alt daher majorennis ohnbevögtigt, der Verstorbenen Sohn und ab intestato universal Erbs“

 

für das Jahr 1806

« Sr Jean Frédéric Bogner, marchand coutelier né à Strasbourg le 28 janvier 1776, fils de feu Jean Frédéric Bogner, marchand coutelier et de feue De Anne Catherine Jundt »

 

für das Jahr 1807

« Inventaire des apports de Jean Frédéric Bogner marchand coutelier et de Philippine Louise Beyckert, suivant contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 31 mars 1806 »

 

für das Jahr 1813

« Jean Frédéric Bogner meurt en 1813 [15.06.1813] en délaissant trois enfants. Le titre qui justifie la propriété de la maison est l’achat de 1707, la transmission ultérieure a eu lieu au règlement des différentes successions »

 

für das Jahr 1832

« Philippine Louise Beykert et ses enfants vendent la maison au tailleur François Jacques Moritz et à sa femme Aimable Joséphine Mornave moyennant 18 700 francs »

 

für das Jahr 1873

« , savoir celui qui porte le N° 1 de dame Philippine Louise Beykert veuve de Mr Jean Frédéric Bogner, dame Charlotte Sophie Louise Bogner épouse de M. François Ehrmann agent de change, dlle Adèle Mathilde Bogner et Mr Jean Frédéric Bogner licencié en droit, tous demeurant à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Louis Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 8 décembre 1832 »

 

Eine weitere Quelle stellen die Almanache und Handelskalender dar. Hier nur zwei Beispiele.

1807       Es erscheint der

Almanach / du / Commerce de Strasbourg, / pour l'an 1807. / [Vignette] / Strasbourg, / Chez Levrault, imprimeur-libraire, rue des Juifs n.° 33. [sic] / 1807.

  1. 12:

Bogner (J. F.), minéraux et objets d'histoire naturelle; place d'Armes.

 

  1. 14:

Dobner (Jos.), marchand d'instrumens [sic] de musique; grandes Arcades.

 

  1. 15:

Eschenauer et Hey, commission et expédition; quai S. Nicolas.

 

  1. 26:

Silbermann (Jean-Henri), imprimerie; rue de la Chaîne.

 

  1. 34 unter „Couteliers.“:

Bogner (Jean-Fréderic), place d'Armes; voyez aussi page 12.

 

  1. 46 unter „Auberges.“

Blessig (Henri), à la Hache; vis-à-vis la Douane.

 

1809       Es erscheint ein weiterer Jahrgang des

Almanach / du / Commerce de Strasbourg, / pour l’an 1809.

Siehe dazu unter 1807, da er gleichen Aufbaus ist.

  1. 32 und S. 60: Bogner
  2. 35: Josef Dobner
  3. 36: Eschenau & Hey
  4. 43:

Lauth, Phil Jacqu., marchand de bois, petit rue de l’Esprit.

  1. 47

Salzmann, fils, comm. et product. du pays; rue dOr.

 

Hinweis :

Diese Zusammenstellung entstand aus Materialien, die im Zusammenhang mit meiner Jung-Stilling-Forschung gesammelt worden sind, ohne dass direkt nach Bogner geforscht wurde. Nicht einmal das Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne wurde konsultiert.

Bei Notizen wie „1805-03-06: In Straßburg stirbt Jean-Fédéric Bogner (Messerschmied)“ sucht man die Quelle vergebens; die Doppelung der (Vor-)Namen erschwert das Forschen.

– Vielleicht helfen die Notizen dennoch.

OAMDG

 

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