Gazette Nationale ou le Moniteur Universel, 1808
« Florentin et Rosine ou l’orphelin des Vosges » (1794/95)
Oberlin übersetzte die « Szenen aus dem Geisterreich »
Secretan: « Vie de Stilling » 1835
Chartons « trois pauvres enfants »
Encyclopédie des gens du monde 1841
Die erste Promotion über Jung-Stilling von Nessler
Barr am Odilienberg/Mont Ste Odile
Agrégation-Prüfung der CNED (französische Fernuniversität)
Karl Philipp Moritz (1757-1793)
Weitere Beiträge - auch in französischer Sprache (von französischen Forschern) - finden sich unter den Texten. - Siehe auch hier.
Umfangreich zu den Übersetzungen von Werken Jungs in die französische Sprache siehe hier!
Georges-Bernard Depping siehe hier.
Einleitung
Ernst Traumann: Goethe, der Straßburger Student. Zweite, umgearbeitete und vermehrte Auflage. Leipzig: Klinkhardt & Biermann 1923;
Bodo Plachta: "Erwache Friedericke" – Sesenheimer Sturm und Drang. – In: Sturm und Drang. Geistiger Aufbruch 1770-1790 im Spiegel der Literatur. Hrsg. v. Bodo Plachta und Winfried Woesler. Tübingen: Niemeyer 1997, S. 135-148, der "den krasse[n] Unterschied dieser Äußerungen" Goethes im Vergleich zu Jung-Stillings Darstellung deutlich macht.
Gazette Nationale ou le Moniteur Universel. N° 52 DIMANCHE, 21 Février 1808. – Eine frühe Würdigung
« Florentin et Rosine ou l’orphelin des Vosges » (1794/95)
Glossen zur "Jugend"
Oberlin übersetzte die « Szenen aus dem Geisterreich »
„Le grand Réveil. / Scênes / de / L’Empire des Esprites / par / Stilling. - / Scène 1e.“ = 32 Seiten = 16 Blatt geheftet.
„IIe Scène / de / l’Empire des Esprits / par Stilling. / Les Naturalistes.“ = 20 S. = 10 Blatt.
„IIIe Scène. / de / l’Empire des Esprits. / par / Stilling. / La Joie du Revoir.“ = Kopie für meinen Sohn Henri Gottfried 27.05.1800; viele Verbesserungen; 16 S. = 8 Blatt.
„VIe Scène / de 7 l’Empire des Esprits / par / Stilling. / Les Fatalistes.“ = 52 S. = 26 Blatt.
„VIVe Scène. / De / l’Empire des Esprits / par Stilling. / Les Piétistes.“ = 36 S. = 18 Blatt.
Petra Mertens-Thurner: Jean-Frédéric Oberlin et Jean Henri Jung dit Stilling – Les « Scènes de L’Empire des Esprits ». Préface de Jacques Fabry. Siegen : Jung-Stilling-Gesellschaft (2004. – ISBN 3-928984-26-8. – [VIII, 9-198 (+ 2) S., 20 Abb.) Vorworte von Gerhard Merk und Gustave Koch.]
Secretan: « Vie de Stilling » 1835
[Schmutztitel] VIE / De / HENRI JUNG-STILLING. / TOME PREMIER. [verso:] - / IMPRIMERIE DE MARC Ducloux. / - [Titel:] VIE / DE / HENRI JUNG-STILLING, / ÉCRITE PAR LUI-MÊME / Et traduite de l’allemand / PAR A. SECRETAN. / Tome premier. / STILLING ENFANT. / PARIS, / CHERBULIEZ, ST.-André des Arts, 68. / GENÈVE, MÊME MAISON. / LAUSANNE, / LIBRAIRIE RELiGIEUSE D’EDUCATION. / 1835.
Magasin pittoresque
« L’excellente traduction terminée depuis quelques années par un des écrivains les plus distuingués de Lausanne ** [= A. Secretan] contribuera sans doute à les populariser ».
Édouard Charton
MÉMOIRE DE HENRI JUNG-STILLING.AVANT-PROPOS.[S. 349, Sp. 1 :] Lecteurs, vous rappelez-vous les Mémoires de Jamerai Duval * ? Vous rappelez-vous comment, né dans une chaumière de Champagne, orphelin, gardeur de dindons pendant son entafance, valet d’ermites pendant sa jeunesse, Jamerai parvint, après mille épreuves qu’il décrit sans amertume, à un rang élevé dans la science, et à la direction du Cabinet des médailles de l’empereur d’Allemagne ?Vous rappelez-vous aussi les Mémoires où William Hutton ** a raconté, dans des pages si naïves, comment, fils d’un cardeur pauvre et ivrogne, réduit à gagner sa vie dès* Tome VI. 1838.** Tome VII. 1839.[Sp. 2.:] qu’il eut la force de marcher, employé à l’âge de six ans aux rudes travaux d’une manufacture, puis apprenti chez un fabricant de bas, ensuite relieur, libraire, auteur, agriculteur, il sut enfin se frayer honnêtement un chemin à travers tous les obstacles de la misère, et acquérir dans l’âge mûr la considération et l’aisance ?Si vous avez lu les extraits de ces deux autobiographies populaires que j’ai eu tant de plaisir à mettre sous vos yeux, vous ne pouvez pas les avoir oubliés. Aujourd’hui j’appelle votre interêt sur les Mémoires d’un autre enfant du peuple dont l’existence n’a pas été moins difficile, moins agitée, et moins courageuse.Henri Jung-Stilling était Allemand : il vous r´vèlera des détails précieux sur la condition des classes pauvres et de la bougeoisie en Allemagne au dix-huitième ciècle, comme Jamerai Duval et Hutton v us ont initiés aux souffrances et aux mœrs des mêmes classes, l’un en France, l’autre ein Angleterre. Ces études comparées des misères du peuple au siècle dernier sont de nature, si je ne me trompe, à exciter une haute curiosité morale. L’extrême rareté de Mémoires de ce genre, écrits avec bonne foi et talent, ajoute encore à leur prix.Les trois hommes qui nous occupent ont été contemporains ; ils auraient pu se connaître. En 1775, Jamerai Du- [S. 349, Sp. 1 :] val, octogénaire, achevait tranquillement sa vie milieu de ses livres, dans un petit appartement du palais impérial de Vienne. Cette même année, William Hutton avait cinquante-deux ans : il était père de famille ; il commençait à écahapper à force de travail à l’indigence qui l’avait si longtemps éprouvé ; il avait acheté des terres aux environs de Birmingham, et il les cultivait. Quant à Henri Stilling, il n’avait alors que trente-cinq ans : il luttait encore contre la mauvaise fortune ; il exerçait la médicine dans une petite ville, avec peu de succès et beaucoup de dettes.Je suppose que par grand hasard ils se fussent rencontrés tous trois, ils eussent sympathisé par les souvenirs communs de leur naissance misérable, de leur jeunesse tourmentée, et par leur intention de laisser un récit fidèle de leur vie comme encouragement et comme exemple aux enfants du peuple. Je doute cependant u’ils se fussent attachés par des liens d’une véritable amitié. Jamerai Duval, voué à la science, était, comme la plupart des esprits distingués de France à cette époque, atteint d’une philosophie sceptique, railleuse et un peu révolutionnaire ; sa devise eût été : ‘Aimez la science, combattez les préjugés, défendez le peuple.’ William Hutton, au contraire, avait contracté quelques uns des sentiments d’egoïsme et d’aigreur assez ordinaires chez les parvenues : il était vivement indigné contre tous changement politique ; il plaçait toute sa gloire das la petite fortune qu’il avait si laborieusement acquise ; il était ingénieux, spirituel même, mais son intelligence n’était arrivée à une grande étendue ni sous le rapport philosophique, ni sous le rapport religieux ; il était industriel et commerçant avant tout, à peut près comme sa patrie. Aussi ses Mémoires sont-ils principalement une leçon d’acivité, de travail et de persévérance. Mais Stilling a été, de sa naissance jusqu’à sa mort, un homme éminemment religieux : Il plaçait sa foi bien au-dessus de tous les interêts humains ; elle dominait chez lui jusqu’à son amour de la science, qui était pourtant bien ardent et bien sincère. Il n’entendait absolument rien aux affaires, et plus malheureusement rien à l’ordre et à l’économie. Le conseil suprême qui sort de toutes ses pages est : ‘Ayez confiance en Dieu.’On ne s’étonnera donc point d’apprendre que les Mémoires de Stilling sont en grande vénération dans quelques pays protestants ; en même temps qu’ils sont une lecture édifiante, ils ont un mérite littéraire. Stilling était lié d’amitié avec Gœthe [Goethe] : Il lui avait confié en manuscrit l’histoire de son enfance. Gœthe y trouva un tel interêt, qu’il la publia sans en demander même l’autorisation à l’auteur ; il avait pris auparavant une autre liberté non moins grande, et dont ni Stilling ni le public n’eurent lieu de se plaindre : il s’était complu à corriger et élever le style. Aussi cette première partie des Mémoires est-elle considérée en grande partie comme l’œuvre de Gœthe.En France, jusqu’à ce jour, ces Mémoires, quoique signalés plusieurs fois au public avec éloge *, sont restés presque entièrement inconnus. L’excellente traduction terminée depuis quelques années par un des écrivains les plus distingués de Lausanne **contribuera sans doute à les populariser ; mais on ne saurait se dissimuler que l’exaltation mystique de Stilling a peu de chances de convenir à notre caractère national. Dans l’abrégé assez étrendu que je me propose d’insérer ici, ce motif de répulsion ou d’indifférence, juste ou non, n’existera pas, ou sera du moins très atténué.. La nécicessité d’être coucis et rapide me restreindra le plus souvent au récit des évènements. Il y aura cependant une mesure à garder : il ne faut point que la moralité s’efface dans l’analys ; ce cerait non seulement renoncer au but utile, mais décolorer une vie dont le romanesque est dans les* La Biographie universelle, la Revue britannique (Juillet 1835).** M. A. Secretan.[Sp. 2:] impressions et dans les sentiments peut-être plus encore que dans les faits.
Chartons « trois pauvres enfants »
Histoires / de / trois pauvres enfants / ( un français, un anglais, un allemand ) / Racontées par eux-mêmes / et abrégées / par M[onsieur]. Edouard Charton / Rédacteur en chef du Magasin pittoresque / et du Tour du Monde / - / Troisième Èdition / - / Paris / Librairie de L. Hachette et Ce / Boulevard Saint-Germain, N° 77 / - / 1867
Le troisième, Stilling, après avoir été tailleur dans un village, laboureur, maître d'école, animé du désir de savoir et d'être utile, avide de posséder la vérité, s'est fait une grand réputation comme écrivain et comme moraliste.Il est remarquable que chacun d'eux représentait assez bien, par son caractère et par sa vocation, les qualités et les tendances propres à son pays natal. Le Français Duval a réussi par le bon sens, l'esprit et le gout des études littéraires; l'Anglais Hutton par l'énergie de sa volonté et son aptitude industrielle; l'Allemand Stilling par une sorte d'enthousiasme philosophique et religieux.Ces trois hommes auraient pu, par grand hasard, se rencontrer; c'eût été, je suppose, vers l'an 1760. Il est vrai que le premier eût été bien vieux et le dernier bien jeune. Leurs carières et la direction de leurs idées étaient si différentes, qu'il est difficile de croire qu'ils se fussent liés d'amitié; mais certainement ils se seraient accordés à reconnaître la vérité
de ces paroles, que nous recommandons surtout à l'attention des plus jeunes de nos lecteurs:Si misérable que l'on soit au commencement de la vie, on peut toujours arriver à l'aisance et à la considération avec une forte volonté, l'amour de l'instruction, une application constante au travail, et surtout avec l'honnêteté et la régularité des mœurs, qui attirent la sympathie et commandent l'estime.Ed. Ch.
Encyclopédie des gens du monde 1841
Encyclopédie des gens du monde. Répertoire universel des sciences, des lettres et des arts; avec des notices sur les principales familles historiques et sur les personnages célèbres, morts et vivants; par une société des savants, de littérateurs et d’artistes, français et ètrangers. Tome quinziême. Paris, Librairie de Treuttel et Würtz, Rue de Lille, N° 15. A Strasbourg, Grand’rue, N° 15. 1841, S. 534-535 Artikel „Jung (Jean-Henri)“.
JUNG (Jean-Henri), mieux connu [S. 535, Sp. 1:] sous le pseudonyme de Stilling, naquit à Imgrund, dans le duché de Nassau, l’an 1740. Ses parents étaint pauvres ; lui-même exerça le métier de charbonnier, puis celui de tailleur, avant de s’élever jusqu’au rang de maître d’école, duquel il redescendit à l’humble profession de tailleur, pour redevenir précepteur. Dans cette dernière position, il parvint à faire quelques économies, à l’aide desquelles il étudia la médecine à Strasbourg. C’est dans cette ville qu’il fit la connaissance de Goethe (voy.) qui, dans ses Mémoires, parle en fort bons termes du bon et pieux Jung, dont les gaucheries et le costume suranné prêtaient constamment à rire à tous ses camarades.
Ce pauvre étudiant en médecine, qui pendant longtemps avait lutté contre la misère, sans jamais perdre la foi et la confiance en Dieu, était destiné à prendre une place honorable parmi les savants allemands, et un rang plus élevé encore parmi les écrivains piétistes. Jung Stilling appartient à cette catégorie d’esprits exaltés, qui rattachent toutes leurs pensées, tous leurs sentiments au monde invisible avec lequel ils se croient dans un rapport constant et intime. Aussi, quelque distinguée que soit la carrière académique de Jung (il exerça succeessivement les fonctions de professeur des sciences camérales, c’est-à-dire de’économie rurale, de science industrielle et commerciale, à Lautern, à Heidelberg, à Marbourg) ; si grands qu’aient été ses succès comme médecin-oculiste, ce n’est ni son talent d’opérateur, ni son mérite comme professeur, qui a répandu son nom dans toute l’Allemagne.
A l’instar de J. Boehme et de Swedenborg (voy. ces noms), Jung entretenait commerce avec les esprits invisibles ; et bravant le ridicule qui s’attache à ces sortes de révélations, il mettait un public incrédule et railleur dans la confidence de ses visions. Et cependant Jung Stilling n’était point fou ! son incontestable aptitude à des sciences très positives, la lucidité de son esprit ne permettent point une pareille supposition. C’était encore moins une fourbe : l’honnête simplicité de son caractère et sa piété sincère s’opposent à cette hypo- [Sp. 2 :] thèse injurieuse. Mais Jung, dans son enfance et sa jeunesse, avait traversé des épreuves si pénibles, il avait si souvent appris à recourir à une prière fervente, qui tenait de l’extase, ou reconnu le doigt de Dieu dans des changements inespérés survenus dans sa fortune, que le passage de ce premier état d’intuition à de plus longues hallucinations à dû être facile et naturel. Lorsqu’il vit l’Allemagne en proie à toutes les horreurs de la guerre, Jung se réfugia de plus en plus dans le monde apocalyptique, où il puisait des consolations et les prévisions d’un meilleur avenir. Et cet avenir quel était-il ? la fin du monde, qu’il annonça comme devant avoir lieu dans la première moitié du XIXe siècle. Il mourut sans l’avoir vue arriver, le 2 avril 1817, à Carlsruhe, où il s’était retiré, avec le titre de conseiller privé.
Jung Stiling a publié les ouvrages suivants : Théobald, ou les Enthousiastes, 3e éd., Leipz., 1828, 2 vol. in-8° ; le Mal du pays (das Heimweh) ; le Philanthrope chrétien ; le Pédagogue populaire ; la Victoire prochaine du christianisme ; l’Homme gris ; le Trésor ; Théorie de la démonologie (Nuremberg, 1808) ; Apologie de la théorie de la démonologie (ibid., 1809) ; Scènes du royaume des ombres (Francfort, 1803). On lui doit aussi quelques romans populaires : Histoire du sire de Morgenthau, Berlin, 1779, 2 vol. ; Histoire de Florentin de Fahlendorf [sic], Berlin, 1781, 3 vol. ; Contes, Francfort, 1814-15 ; la Transfiguration, Nuremberg, 1821. Jung est de plus l’auteur d’une autobiographie très remarquable, qui parut d’abord sous le titre de Jeunesse et années de pérégrination de Henri Stilling, Berlin, 1777-1778, 3 vol., et à laquelle la Vie domestique de Henri Stilling, Berlin, 1789, faisait suite ; mais plus tard l’auteur fondit ces deux ouvrages en un seul intitulé : la Vie de Henri Stilling, histoire véritable, Berlin, 1816, 5 vol. ; un sixième volume fut publié par son petit-fils, Guillaume Schwarz, sous le titre de Vieillesse de Henri Stilling. L. S.
Die erste Promotion über Jung-Stilling von Nessler
Université de France. / - / Faculté de Théologie protestante de Strasbourg. / - / Étude théologique / sur / Jung-Stilling. / Thèse / présentée / à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg, / et soutenue publiquement / le mercredi 2 janvier 1856, à 4 heures du soir, / pour obtenir le grade de bachelier en théologie, / par / Charles-Guillaume Nessler. / - / Strasbourg, / Imprimerie de G. Silbermann, Place Saint-Thomas, 3. / 1855
„Les hommes éminents représentent presque toujours leur époque en personnifiant ainsi dire les idées dominantes du temps dans lequel ils vivent. Cette règle, quoiqu’elle puisse sembler générale au premier abord, ne peut cependant pas s’appliquer à tous ceux dont le nom est devenu célèbre. Bien des hommes distingués se sont soustraits à l’influence de leur époque et représentent même quelquefois les idées opposées ou étrangères à celle qui, pour le moment, occupent le devant de la scène; aussi leur vie n’est-elle qu’un long combat contre les tendances du présent, et leur esprit vit soit dans le passé, vivant dans une sphère étrangère à celle de leurs contemporains, leur influence n’est jamais très grande; et, en étudiant la vie d’un de ces hommes, on est tenté de se dire: il a vécu trop tôt ou trop tard.
Nous avons entrepris l’étude d’un homme que nous rangeons parmi ceux qui, selon nous, n’appartiennent pas à leur époque, et le présent travail académique a pour but, non d'en donner le récit chronologique de la vie [S. 6:] de Jung-Stilling, ni l’énumération et l’analyse de ce qu’il a écrit, mais de représenter la vie intérieure de cet homme remarquable pour tous ceux qui suivent la marche de l’Esprit et l’avancement du règne de Dieu.“
„La vie de Jung-Stilling.“
„Les écrits religieux et théologiques de Stilling.“
„Thèses.I.Le sermon est le principal élément du culte protestant; il ne faut pas absolument qu’il ait toujours pour sujet un texte de l’Écriture.II.Le sermon a pour but l’édification et l’instruction; en y tendant, le pasteur provoque la seule et véritable activité du culte.III.En faisant une plus grande aux fidèles dans le culte par le chant et les prières liturgiques, on remplace l’activité intérieure par une activité extérieure.IV.Si l’homme matériel aime à s’attacher aux formes, à ce qui impressionne les sens, ce n’est pas une raison que l’Église doive venir au devant de cette tendance; elle doit tâcher de spiritualiser le culte au lieu de le matérialiser.V.Le principal poste du pasteur est la chaire, la cure d’âme ne devient efficace que par suite de la prédication.VI.Il serait à souhaiter qu’une discipline ecclésiastique fût établie.“
Barr am Odilienberg/Mont Ste Odile
BOPP: Geistliche 1959, S. 503, Nr. 4822: Johann Michael Schweighäuser, Sohn des Handelsmannes Johann Michael S., ehel. Barr 21.10.1784 Katharina Margareta Stephan, Pfarrerstochter aus Buchsweiler; imm. Straßburg 11.04.1765, theol. ebd. 17.01.1771; Diakon und Pfarrer in Barr 1793 ff., schwor 25.11.1793 ab; gest. 14.04.1816.
Über die Bemühungen zu Jung-Stillings Werk im Zuge der Agrégation-Prüfung sei hier berichtet:
einer Szene aus der "Jugend" (Hrsg. G. A. Benrath, S. 42 ff.): Auszug aus "Henrich Stillings Jugend" (Textkommentar). Hausarbeit zur Vorbereitung der "Agrégation"-Prüfung dem "CNED" vorgelegt 1993
ein Vergleich der "Autobiographien: J. H. Jung-Stilling und U. Bräker. Ein Vergleich. Der Prüfungskommission der "Agrégation" vorgelegte Klausurarbeit; Paris 1994".
Wolfgang Spiewok: Der deutsche autobiographische Roman des 18. Jahrhunderts. Ein Studienmaterial. Greifswald: Reineke (2. Aufl.) 1994 = Reinekes Taschenbuch-Reihe Bd. 2 [Titelrückseite: Bd. 1. 1. Aufl. 1993. ISBN 3-89492-019-1. S. 76: CRDP de Picardie; Imprimé en France, janvier 1995; dépôt légal 1er trimestre 1995.] = RTR 2. [Jung-Stilling S. 29-57; 69; 71 f.]
Littérature & civilisation à l’agrégation d’allemand session 1994 études rassemblées par E[ugène]. Faucher février 1994 = Bibliothèque des Nouveaux Cahiers d’Allemand. Collection Concours sur programme Volume III. Nancy: CRDP 1994, ISSN 1242-8566. [Centre de Recherches Germaniques de l’Université.
[... Gnothi sauton, grch.: Kenne dich selbst] ( - / oder / Magazin / zur / Erfahrungsseelenkunde / als ein / Lesebuch / für / Gelehrte und Ungelehrte. / - / Mit / Unterstützung mehrerer Wahrheitsfreunde / herausgegeben / von / Carl Philipp Moritz, / Professor am Berlinischen Gymnasium. / - / Zweiter Band. / - / Berlin, / bei August Mylius 1784." findet sich im "Magazin / zur / Erfahrungsseelenkunde. / Zweiten Bandes erstes Stück."
"Lebensgeschichte und Natürliche Ebentheuer [Abenteuer] des armen Mannes im Tockenburg",
"Freilich hätt' ich, wie gesagt, mein Geschreibe ganz anders gewünscht, und kaum war ich damit zur Hälfte fertig, sah ich das daß ich mir denn doch getraut hätte zu bestimmen, wie es eigentlich sein sollte; sonst kuderwelsche [sic; kauderwelsche] Ding schon schief an; alles schien mir unschicklich, am unrechten Orte zu stehn, ohne hätt' ich's flugs auf diesem Fuß, zum Beispiel nach dem Modell eines Heinrich Stillings, umgegossen. 'Aber, Himmel! welch ein Kontrast! Stilling und ich!' dacht' ich. [S. 195:] 'Nein, daran ist nicht zu gedenken. Ich dürfte nicht in Stillings Schatten stehn.' Freilich hätt' ich mich gerne so gut und fromm schildern mögen, wie dieser edle Mann es war. Aber konnt' ich es, ohne zu lügen? Und das wollt' ich nicht und hätte mir auch wenig geholfen. Nein! das kann ich vor Gott bezeugen, daß ich die pur lautere Wahrheit schrieb, entweder Sachen, die ich selbst gesehen und erfahren oder von andern glaubwürdigen Menschen als Wahrheit erzählen gehört."
Toshio Ito: Doitsu jidem shosetsu to keiken shugi: "Hainrihi Shutiringu no denki" to "Anton Raiza" e no kosatsu. - In: Kyushu Daigaku. Bungakubu. Bungaku kenkyu. [Bd.] 79. Fukuoka 1982, S. 99-152. [Der deutsche autobiographische Roman und der Pietismus von "Heinrich Stillings Lebensgeschichte" bis zu "Anton Reiser".]
Helmut Pfotenhauer: Literarische Anthropologie. Selbstbiographien und ihre Geschichte – am Leitfaden des Leibes. Stuttgart: Metzler (1987) [Darin S. 77 ff.: "III. Die Grenzen religiöser Selbstdeutung. Autobiographien zwischen Bernd und Moritz".]
Literaturhinweise
Coquelin/Guillaumin: Dictionnaire de l’Économie politique contenant l’exposition des principes de la science [,] l’opinion des écrivains qui ont le plus contribué a sa fondation et ses progrès [,] la Bibliographie générale de l’économie politique […] avec des notices biographiques … par … Bd. 2. J – Z. Paris: Guillaumin [und] Hachette 1854, S. 9; u. a.:„« Mais son désir ardent et de s’instruire ne lui laissa point de repos jusqu'à ce qu’il fût parvenu, après des vicissitudes qu’il raconte dans ses Mémoires […]. […] Outre ses ouvrages d’économie ou de finances, il a écrit plusieurs romans et des livres pleine de bizarrerie et de mysticisme, qu’il l’ont classé à part dans la littérature. » ;genannt sind: Versuch eine Grundlehre sämtlicher Cameralwissenschaften (Principes des sciences économiques) 1779; Lehrbuch der Finanzwissenschaft (Traité de la science des finances) 1788 [richtig 1789]. Falsch ist die Angabe: Professor seit 1778 und bis zu seinem Tod.
Jacques Fabry: Johann Heinrich Jung-Stilling (1740-1817). Esotérisme chrétien et prophétisme apocalyptique. (Bern usw.:) Lang (2002 [erhalten im März 2003, also erst 2003 erschienen]. ISBN 3-906-770-78-8; ISSN 0933-6095) = Collection „Contacts“ Série III – Etudes et documents Volume 62.
Théodore Vetter: [Artikel] Jung dit Stilling Johann Heinrich. - In: Fédération des Sociétés d’Histoire et d’Archeologie d’Alsace. Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne. Red.: Jean-Pierre Kintz.Nr. 19: Jaeg à Kal. Straßburg: Fédération 1992 (Dep. leg. Nr. 14592. Juni 1992) S. 1843-1845. (M. 1 Abb., Scherenschnitt Jung-Stillings S. 1844.)
Théodore Vetter: L’étape Strasbourgeoise de Heinrich Jung dit Stilling ou le déterminisme d’une double carrière. - In: Annuaire de la Societé des Amis du Vieux-Strasbourg. Rédacteurs: Denis Durand de Bousingen, Philippe Jung. Strasbourg 1992, S. 41-56.
Jules Keller: La conception de l’âge d’or chez Jung-Stilling et chez Novalis. Son rapport avec la Révolution française. - In: Les Romantiques allemands et la Révolution française. Kolloquium. Hrsg. v. Gonthier-Louis Fink. Straßburg 1989, S. 27-39;
Jules Keller: Jung-Stilling face à la révolution. ‘L’homme en gris’ lance l’anathème contre les sans-culottes. - In: Germanistik aus interkultureller Perspektive. Articles réunis et publiés par A. Finck et G. Gréciana en hommage à G.-L. Fink. Straßburg 1989. Bd. 88, S. 155-164.
Le nouveau dictionnaire des Auteurs de tous les temps et de tous les pays. Tome II [:] G-M. ISBN 2-221-07717-2 (2-221-06888-2) [1er éd. 1952] 1994), (Paris:) Laffont; p. 1640-1641: Jung-Stilling Johann Heinrich.
Laffont-Bompiani: Dictionnaire des Oeuvres de tous les temps et de tous les pays. Littérature. Philosophie. Musique. Sciences. Paris: Société d’Edtition [1er ed. 1953] (1968), p. 588: Histoire de la vie d’Henri Jung dit Stilling. (Trad.: F. Thomas, 1854).
Laffont-Bompiani: Dictionnaire des Oeuvres de tous les temps et de tous les pays. Tome III [:] Fa – Le. (Paris:) Laffont [1er éd. 1954] (1994, ISBN 221-07711-3; 2-221-06887-4), p. 3286: Histoire de la vie d’Henri Jung dit Stilling. (Trad.: F. Thomas, 1854).